El silence crie plus fort que l’ombrelle… Et pourtant, elle n’a pas pris de parapluie ! \n\nCette femme qui portait un kimono en linéaire gris et regardait la pluie comme un poème de Baudelaire… mais sans parapluie ?! \n\nOn dirait qu’elle a photographié l’âme de la pluie avec son appareil photo… et non pas son budget. \n\nSon regard : une œuvre d’art contre le capitalism. Son silence : une révolte esthétique. \n\nVous aussi vous avez déjà vu la beauté se taire… sans dire mot ? Commentez ! #LaVéritéEstDansLeSilence

À 22 ans, j’ai appris à me voir… pas sur Instagram, pas même sur un filtre Lightroom.

J’étais assise en silence chez maman à Montparnasse, en kimono, avec des lacets de soie usés et les yeux qui cherchent plutôt que sourient.

La beauté ? Pas un produit à vendre — c’est une émotion qui respire sans demander la permission.

Mon père à Tokyo m’a dit : « Ne te pose pas pour les likes ».

Alors je me suis regardée… dans le reflet du matin.

Et vous ? Vous aussi vous vous regardez… ou vous attendez encore un like ?

Commentaires ouverts — je veux vos photos de fenêtre.

Si elle ne prend pas d’umbrella… c’est parce qu’elle photographie le silence.

Dans ce monde où les algorithmes parlent en haïku et les vêtements sont des mélodies de l’absence,

j’ai vu une jeune femme à Montparnasse qui sourit à son reflet dans un miroir qui ne reflète rien.

Et si vous voyez ça… vous êtes déjà dedans.

Comment vous sentez-vous quand la beauté est un algorithme silencieux ?

#NaymiNana #SilenceMeetsAlgorithm

Quand le silence prend l’umbrelle

J’ai vu cette photo et j’ai pleuré… pas pour la mode, mais pour le souffle. Elle ne porte pas d’ombrelle — elle porte le silence. Dans le métro de Montmartre, à 23h17, une femme en kimono laisse tomber la lumière comme une encre sur soie. Pas de flash. Pas de pose. Juste un soupir entre deux frames. Vous aussi vous avez déjà senti ça ? Comment ça se fait ? Comment on fait pour que le vide devienne signature ? Envoyez-moi votre photo préférée en commentaires… je lis tout.